J’étais dans la pouponnière, seule en train de regarder les autres chatons avec leurs mères qui étaient en train de faire la toilette à leurs petits. Moi, j’étais seule, maman était sortie pour chasser avait – elle dit, et papa il avait trop de choses à faire soit disant. Alors, j’étais la seule chatonne coucher en train d’essayer de m’endormir, mais le sommeil ne venait pas, je ne pouvais pas sortir car ma mère m’avait dit de rester tranquillement dans la pouponnière. Soudain, quelqu’un passa sa tête par le rideau de lichen, au début je ne reconnu par cette personne, mais quand celle ci entra dans la pouponnière en saluant les autres reines, je reconnu mon père. Le grand Etoile du Vent, ce chef que les gens adorait tant, c’était un bon chef disait – on, mais pour moi c’était ma fierté, c’était mon père que j’adorai tant, et qu’il soit là était pour moi un grand bonheur. Quand Vent s’approcha de moi, je me levai et ma queue noire et touffue commença à fouetter l’air joyeusement, puis je ne tardai pas à me lever pour aller sauter dans les pattes de mon père tout en ne manquant pas de lui faire une léchouille sur les pattes en signe de bienvenue. Puis, Etoile du Vent me demanda d’une voix douce et remplie d’amour que j’aimai particulièrement : - Salut ma petite princesse. Ca va ? Et moi d’une voix enjouée et heureuse je répondis aussitôt ou presque :

- Papa ! Maintenant que tu es là, ça va mieux parce que je me sens moins seule ! Et toi, pas trop de travail ?

Je sourie. J'étais enfin hereuse que ma fille s'était trouvée une amie avec qui jouer. Petite Fleur était la fille d'une des reines de mon clan mais je ne me souviens plus de qui. Que je suis mal, moi chef, de oublier le nom d'un membre de mon clan. Petite Beautée était née il y a trois lunes maintenant et depuis tout ce temps, elle ne c'était pas trouvée des amies qui l'aimait pour qui elle était. Et enfin aujourd'hui, elle me dit qu'elle a joué avec une chatonne du clan de la Foudre. Je crie en mon fort intérieur merci au clan des Etoiles d'avoir rendu le bonheur à ma petite princesse adorée. Beautée commençait à rire puis emporté par la joie, je commencais à rire aussi. Ma fille ... je sais pas comment les autres chatons ne peuvent pas l'aimer et jouer avec elle pour ceux qu'elle est. Elle est gentille, intelligente et sympathique, tout dans une chatonne pour s'y plaire dans le campement même si ce n'est pas le cas du tout. n pensant que Souffle d'Illusions allait revenir bientôt de la chasse, mon ventre me faisait mal. La peur ? Depuis la dernière fis que je l'ai vu, c'était il y a bien longtemps. Je ne lui parle plus et ne le souhaite pas. La peur me ronge en pensant à elle, je l'aime toujours. Je tournai la tête pour regarder ma fille et pendant un moment, je faillis sortir en courant et peut-être crier aussi. J'en eu la nausée à force de penser à elle, elle m'tait trop chère et je l'avais perdu entre le bout de mes doights. Je dis à ma fille d'une voix douce mais crintif et mystèrieux qui n'est pas dans mon abitude :

- Je me sens pas bien chérie, je fais aller faire un tour dehors. Ta mère sera de retour dans quelques minutes de la chasse, je suis désolé de partir si vite, c'est juste que ....

Je laissais ma phrase en suspente. Je ne voulais pas rester ici, je lechais la joue de ma protégée puis à grands pas, même en courant je sortie de la pouponnière pour me refugier dans ma tanière, seul .